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La quadrature des classes : comment l'émergence de nouvelles classes sociales bouleverse les paysages politiques occidentaux

Type de document :
Livre
Auteur(s) :
Muzergues, Thibault, 19..-...., Auteur
Verhofstadt, Guy, 1953-...., Préfacier
Éditeur(s) :
Lormont, Bruxelles : Le Bord de l'Eau, Marque belge : DL 2018
Description :
1 vol. (175 p.) graph., couv. ill. en coul. , 23 cm
ISBN :
978-2-35687-579-2; br.
Langue(s) :
français
Résumé :
La 4e de couverture indique : "Pour comprendre les bouleversements liés à la crise de 2008 (disparition d'anciens partis, émergence de nouveaux acteurs), il faut arrêter de pérorer sur le contenu idéologique de l'offre politique, mais, au contraire, se concentrer sur la demande des citoyens, qui seuls définissent les clivages de notre débat démocratique. Comment comprendre les victoires de Trump, Macron, Tspiras ou Kurz ? Chacun à sa manière a réalisé la quadrature des classes là où les partis classiques n'ont pas su changer de logiciel. Il faut désormais tenir compte des 4 classes qui redéfinissent l'espace démocratique : La classe créative urbaine et libérale ; La classe moyenne provinciale portée par les Boubours urbbains dans le style de François Fillon ou Boris Johnson ; La nouvelle minorité blanche ouvrière - qui devient le socle électoral du Front national, mais aussi de l'AfD en Allemagne et de Donald Trump ; Les millénials - nouveaux rebelles du système, enfant chéris des créatifs, ils sont frustrés de voir leurs aspirations freinées, ce qui les pousse à rejeter le système dans son ensemble en apportant un soutien à une nouvelle extrême-gauche incarnée par Jean-Luc Mélenchon, Bernie Sanders, ou le sécessionnisme en Catalogne. Ce livre montre comment ces classes sociales ont défini les nouveaux clivages de la politique post-crise financière, comment elles doivent agir entre elles pour atteindre puis exercer le pouvoir. Il propose également une réflexion sur le besoin de former des coalitions pour gouverner, et d'accepter l'existence de l'autre sans pour autant renoncer au débat. Si aujourd'hui chacun des acteurs accepte le verdict des urnes, l'enjeu est de s'assurer que cela reste le cas en Occident".
Annexes :
Notes bibliogr.
Sujets :
Classes sociales -- Europe -- 2000-
Classes sociales -- États-Unis -- 2000-
Participation politique -- Europe -- 2000-
Participation politique -- États-Unis -- 2000-
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Livre Bibliothèque de Sciences Po Lyon Niveau 1 305.5 MUZ (Browse shelf(Opens below)) Société Available S0410000584
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Notes bibliogr.

La 4e de couverture indique : "Pour comprendre les bouleversements liés à la crise de 2008 (disparition d'anciens partis, émergence de nouveaux acteurs), il faut arrêter de pérorer sur le contenu idéologique de l'offre politique, mais, au contraire, se concentrer sur la demande des citoyens, qui seuls définissent les clivages de notre débat démocratique. Comment comprendre les victoires de Trump, Macron, Tspiras ou Kurz ? Chacun à sa manière a réalisé la quadrature des classes là où les partis classiques n'ont pas su changer de logiciel. Il faut désormais tenir compte des 4 classes qui redéfinissent l'espace démocratique : La classe créative urbaine et libérale ; La classe moyenne provinciale portée par les Boubours urbbains dans le style de François Fillon ou Boris Johnson ; La nouvelle minorité blanche ouvrière - qui devient le socle électoral du Front national, mais aussi de l'AfD en Allemagne et de Donald Trump ; Les millénials - nouveaux rebelles du système, enfant chéris des créatifs, ils sont frustrés de voir leurs aspirations freinées, ce qui les pousse à rejeter le système dans son ensemble en apportant un soutien à une nouvelle extrême-gauche incarnée par Jean-Luc Mélenchon, Bernie Sanders, ou le sécessionnisme en Catalogne. Ce livre montre comment ces classes sociales ont défini les nouveaux clivages de la politique post-crise financière, comment elles doivent agir entre elles pour atteindre puis exercer le pouvoir. Il propose également une réflexion sur le besoin de former des coalitions pour gouverner, et d'accepter l'existence de l'autre sans pour autant renoncer au débat. Si aujourd'hui chacun des acteurs accepte le verdict des urnes, l'enjeu est de s'assurer que cela reste le cas en Occident".